Un mariage à 60 millions de témoins

CulturalGangBang toujours présent pour les grands moments de l'histoire des plumes dans le cul.
Vous êtes maintenant Mari et Homme...


Mariage pour tous à Montpel par Culturalgangbang

0 commentaires:

La punition des sociétés sans Dieu

Ce qui m’a le plus surpris, lorsqu’il y a quelques mois je racontais l’histoire d’un proche qui a reçu un objet tombé accidentellement d’une fenêtre, c’est la réaction des gens une fois rassurés sur l’issue sans gravité de l’incident. Leur première question était de savoir si la personne allait attaquer en justice

joker-jack-nicholson
« Tu vas porter plainte ? »

C’était si naturel, si immédiat chez tant de gens, que j’en suis arrivé à me demander si c’était pas moi qui faisais preuve de naïveté en ne pensant pas comme ça. Pour moi, on porte plainte contre une malveillance manifeste, quelqu’un qui a essayé de te faire du mal. Pour moi, plainte = culpabilité morale de quelqu’un. Mais si le mal tombe du ciel, si c’est accidentel, c’est la faute à personne, c’est « trop injuste » et c’est tant pis pour ta pomme. 

Or selon la logique de ces gens, il peut y avoir plainte dès lors qu’il y a préjudice. Puisqu’on peut obtenir réparation, il faut obtenir réparation : de la personne qui a fait tomber l’objet, de son assurance, du syndic de l’immeuble… On s’en fout ! Du moment que quelqu’un paye. 

C’est un réflexe qui n’était pas si répandu, je pense, il y a encore quelques décennies. Et derrière cet instinct, ne se trouve peut-être pas seulement le vil appât du gain, mais un besoin désespéré de mettre son malheur sur les épaules de quelqu’un, dans une société où Dieu ou le Hasard ne sont plus là pour ça. La disparition d’une engeance divine, la sécularisation de la vie, la laïcité des opinions, l’obsolescence du lien entre pouvoir et divin… entraînent la disparition de tout fatalisme. 

Tant qu’il y avait la Providence, les catastrophes avaient toujours un Responsable. Mais dans un monde où Dieu est mort, qui accuser ? Contre qui se retourner ? On est orphelin, seul face à l’idée angoissante de chaos et d’aléatoire - idée insupportable qui rend dingue le commun des mortels. 

« Vas-z-y tu m'as traité !? »

Dès lors, si l’on refuse le hasard et s’il n’est pas de Dieu (le hasard étant le Dieu des non-croyants), c’est ici-bas que doit nécessairement se trouver le coupable à désigner. Quelqu’un doit payer. C’est ainsi que McDonalds devient responsable d’un quidam qui se renverse un café brûlant sur les genoux, ou que l’on se met automatiquement à la recherche du « responsable politique qui n’a pas pris les mesures préventives qui s’imposaient » quand une canicule touche le pays…

Dans une société sans Dieu, rien ne peut être mis sur le dos du Destin, rien ne peut non plus être laissé au hasard. Dans une société sans Dieu, chaque situation entraîne des responsabilités, des droits et des devoirs que l’on consigne dans des codes civils. En échange, pour nous punir, Dieu nous envoie cette armée de gens qui s’avance lentement en toute impudeur : la génération des juristes, des plaignants, des ayant-droits, des clients qui réclament et des citoyens qui exigent sans plus de retenue. Voici l’un des enfers possibles.

0 commentaires:

Courrier des lecteurs : Méluche chante Marchais !

Le seul album qui se revend même pas sur LebonCoin
Mélenchon. « Méluche » pour les intimes. 20 ans de carrière, douze album. La sortie de son dernier album de reprises de Georges Marchais en collaboration avec Nostalgie, NRJ12 et Fun Radio est pour lui l’occasion de se souvenir de débuts difficiles : « Ouais, au début, c’était pas d’la tarte ! J’écumais les fêtes de villages et j’enchaînais les prestations off. C’était avant la sortie de mon album « On en a gros sur la patate », qui m’a véritablement lancé ! Mais je garde de cette époque de bons souvenirs, je tournais avec la crème des sosies de stars, comme Jimmy Hallyday ou Jean-Michel Sardou ! »

Avec « Méluche chante Marchais », redécouvrez l’époque bénie du socialisme triomphant où les communistes aimaient l’uniforme, les bottes bien lustrées et où il y avait le plein emploi en Sibérie! « Un grand must de la chanson populaire » selon Philippe Manœuvre himself, « un putain d’album punk » selon Nono, Tintin et Gudule des Bérus, le disque s’impose d'ores et déjà comme un incontournable. On a rien vu de plus convainquant depuis Thierry Le Luron !

Certains déplorent l’absence du célèbre hit de Marchais « Montigny-les-Cormeilles », qui a fait danser du coco sur les dancefloors des années 1980. Méluche s’explique : « reprendre ce tube était inenvisageable, on est en plein dans la période kitch de Georgi, là. C’est comme Tintin au Congo, Spielberg l’a pas adapté au cinéma ». Mais qu’on se rassure, on trouve dans les bonus quelques points du programme de Mitterrand ainsi qu’une reprise de « Laisse tomber tes problèmes » feat Yannick Noah .


Merci à Burne Puncher (texte ET photomontage). 

0 commentaires:

Buddy Movies chez E&R


Intouchables, Dieudonné, Dominique Venner
Un film bouleversant coproduit par Thomas Langmann

Encore sous le coup de l'émotion engendrée par la suicide de l'historien Dominique Venner, Alain Soral, inimitable maître du logos, ne voit nul autre que Dieudonné pour continuer le combat de l'ex rédacteur en chef de la NRH contre le métissage et la destruction des valeurs familiales traditionnelles.  Dans l'esprit des créations E&R que sont Au Bon Sens ou Sanguisterrae, le C.G.B vous propose en exclusivité les premières affiches de notre structure cinématographique. Des productions dissidentes réconciliatrices loin des habituels coups de billard à 3 bandes et autres stratégies talmudiques.


Ils ont 48 Heures pour sauver la France

Mais aussi :

« Moi c’est Nuit, lui c’est Brouillard ! » Deux flics aux tempéraments aussi détonants qu’opposés se retrouvent coéquipers sur une même affaire : démanteler un réseau de trafic culturel.
 
Merci à Dave BazOOka pour le montage des Intouchables qu'on a retouché...

0 commentaires:

Le Coronavirus a tué : le CGB livre les photos du tueur

Au CGB, si on décrypte si bien l'actualité, c'est qu'on a à la cave un microscope électronique du genre à y regarder de plus près... 
Clichés du coronavirus (coupe transversale échelle 1/milliard de million) : 
Coronavirus en pack de 6 
+ une bouteille dans la chambre...

Chears !!!

0 commentaires:

Le son du jour qui fête ses vingt ans au Wuuuu

0 commentaires:

Pensée magique, mais magie blanche

La magie revient en force chez les blancos (comme dirait Vallse).
Depuis qu'ils ont découvert "l'énergie orgon" cher à Reich, les conspis ont franchi un palier pour se protéger des "chemtrail" en inventant le CHEMBUSTER (tatatatatin). Les voilà persuadés de commander aux nuages. Un beau spécimen canadien :



Une autre qui n'a pas de chembuster (trop cher) mais chasse les nuages au pulvérisateur à plantes rempli de vinaigre :

 
 
ETC.
 
ETC..

0 commentaires:

Concert pour tous à la Bastille : un fan se suicide en découvrant que Mika est homosexuel

Il le suivait depuis ses débuts et son tube Relax, take it easy. Le nom de son artiste fétiche furtivement lu sur une affiche : il n'en faut pas plus au jeune aficionado pour se précipiter place de la Bastille, hier soir, afin d'assister au concert organisé (mais l’avait-il compris ?) en l’honneur du vote de la loi sur le mariage gay.

Déjà méfiant à la vue des nombreux drapeaux arc-en-ciel dans le public, la gestuelle ambiguë de son idole achève de le faire douter


Après 20 minutes de set, le jeune homme comprend : subitement dégoûté d’avoir écouté « de la musique de pédé » à son insu plusieurs années durant, il met fin à ses jours au milieu de la foule.

0 commentaires:

GENIAL , la France a enfin son MISHIMA !



 SOURCE

0 commentaires:

Un cul



Hommage à Robert Crumb

(suggestion de lecture : à haute voix)
La surprise de son cul explosa devant moi comme une titanesque bombe. Il y eut une musique, une bribe tanto allegro rappelant le Messie de Haendel, trois accords pleins et totalitaires, bouffant l’atmosphère de leurs oscillations lourdes, un vacarme tout en force alliant les plus terrestres basses, une cavalerie de triolets débridés et le bombardement sourd de percussions, toms synthétiques, grosses caisses de fanfare, éclats de cymbales et marimbas cinglants. Ce cul m’apparut comme la conclusion d’une symphonie dantesque et démodée, mais qui produit toujours le même effet qu’à sa Première : le scandale des émotions insoutenables. Dans une œuvre musicale, le final tonitruant est destiné à laisser l’auditeur décontenancé par le silence qui suit, à faire résonner en lui, dans une sorte d’inconscience groggy, l’énergie de l’œuvre terminée. L’auditeur ainsi assaisonné est invinciblement tiré vers les cimes d’un enthousiasme qui se manifeste même chez les plus timides. Mais là, que pouvait bien signifier ce fracas divin, et comment imaginer l’opéra qu’un tel éclat couronne ?




Ces trois accords époustouflants pénétrèrent en moi comme un train fou dans un tunnel paisible. L’ampleur sonore m’absorba aussi soudainement que le feraient cent mille litres de peinture blanche jetés sur une minuscule tâche de noir. Je suffoquai, cherchai mon souffle, les yeux sortant de la tête, le regard pris par une boulimie instantanée, déjà désespéré d’en perdre une miette (mais à ce niveau, on bâtirait des mausolées autour des miettes !). Je peux donc affirmer que la musique de ce cul m’atteint avant le souffle même, avant l’effet mécanique attendu de ce genre d’attentat. Bien plus tard, en racontant mon aventure autour de moi, on m’a opposé le fait qu’une apparition, aussi soudaine soit-elle, ne produit aucun bruit. Plus le temps passe, plus l’assurance des imbéciles progresse. Bien-sûr qu’il y a de la musique dans la vie ! A des moments d’intensité inhabituelle, les plus sensibles d’entre nous entendent de la musique, c’est bien connu. Croyez-vous par hasard que les cinéastes ont inventé un artifice, et que seul le cinéma fait entendre des violons quand une femme se décide à vous dire « je t’aime » ? N’avez-vous jamais entendu le petit air qui se déclenche quand vous regardez des photos de famille et qu’apparaît l’image de ce petit cousin, mort à huit ans, avec qui on passait des vacances superbes d’innocence et de liberté ?

Le souffle donc me manqua. Je ne respirais plus. J’avais la bouche ouverte, mais tous mes réflexes vitaux se concentraient dans un acte bien plus capital que respirer : je matais. Du plus profond de mon corps monta une vague de chaleur déferlante, ou bien est-ce réellement la chaleur déclenchée par l’apparition de ce cul, partout où il passe, qui me fit roussir – je ne sais. Mon cerveau ? Mon esprit ? Oh, tout ce que j’ai appris, tous mes efforts pour nourrir l’être pensant que je suis se résumaient soudain en une seule et unique formule stupide : « c’est pas vrai… c’est pas vrai ! »
J’avais devant les yeux le cul le plus formidable qui fut jamais contemplé, une masse de chaire ferme et souple, ondulante et puissante, large et serrée, un paquet d’énergie brute contenue dans les voiles d’une jupe ajustée par un génie, taillée par un Dieu, une entité à la géométrie nouvelle, parfaitement sphérique mais avec de telles nuances ! de tels changements ! des masses plus prononcées ici, des glissements subtils là, un méplat à couper la chique au plus blasé des pédérastes, THE méplat, la piste d’envol des reins, le contrefort des joies et des aventures alpestres, la courbe inouïe par laquelle se forme un cul, qui fait saillir les fesses dans le reste du monde, un élan de vie qui emmerde la pesanteur et ses lois pour flapis, le cul qui enchante le cosmos, qui fait s’élever les montagnes et se tordre les continents (car il est établi que la tectonique des plaques s'explique par l’espoir des terres du monde entier d’apercevoir ce qui appartenait à mon regard à ce moment là), la plus parfaite forme de vie de l’histoire de la Vie, ces deux sphères d’amour blotties l’une contre l’autre, qui produisaient en bougeant un mouvement qu’il me faudra renoncer à décrire mais qui est l’appel, la prière que lance la beauté à l’univers entier, un appel où il est dit qu’il faut se contenter de vivre en face de ce cul (si le cœur tient, évidemment), en attendant la fin du monde. Le galbe changeant de ce couple de fesses traduisait en lignes courbes le poids de l’ensemble, poids qu’on ne peut bien-sûr pas deviner mais qui imprimait sur le fin tissu de la jupe une pression aimable, juste, qui promettait des découvertes nouvelles, des surgissements frais, une explosion renouvelée quand elle se libérerait. 

Ce cul vivait.
Désormais, pour le reste de ma vie, son image ferait partie de moi, je me coucherais et me lèverais avec lui, et toutes mes nostalgies se rapporteraient à lui, le Cul des Mille et Une Nuits, qui ne finit jamais. Comme on est fasciné par une puissante houle qu'on observe d’une petite hauteur, je m’abîmais dans les torsions de ce Cul, dans les gonflements soudains produits par ses déplacements, et la brillance du tissu, augmentée chaque fois par le jeu de ces globes sauvages, faisait naître un soleil nouveau à chaque ondulation de la croupe. Me chauffant à la chaleur de cet astre, j’observais sans comprendre les transformations d’un monde encore lointain mais animé d’une vie éclatante : le Cul, mû par un instinct propre, prenait le contre-pied du mouvement de la taille, ondulant avec insouciance comme une fillette magnifique sur une balançoire, avec la légèreté d’une enfant et l’assurance d’une révolutionnaire de Delacroix, il tendait l’une de ses fesses quand la jambe se lançait en avant et ramassait en un paquet dur comme un marbre fin l’autre fesse, celle qui forme au-dessus de la jambe portante un chapiteau à faire pâlir les plus immodestes ciseaux.

Ce roulis annonçait un océan infini, sans limites connues.



Sa danse imprimait à l’horizon même un balancement lancinant dont le naturel s’imposait comme une loi universelle, et moi, frêle esquif, j’étais aspiré sans conscience vers le cœur battant de ce maelström surhumain. Autour de nous, plus rien. Seul face à la plus impressionnante manifestation d’un destin d’homme, je reconnus dans ce dieu culier l’élément qui m’avait toujours manqué pour sombrer à âme perdue dans le mysticisme total, celui qui ne doute plus, qui accepte tout, qui dit oui au plus improbable racontar, qui vénère trois cailloux lisses érigés en haut d’un mât, la force qui pousse le paralytique à franchir des montagnes sur le ventre, le mysticisme qui sait voir dans la nuit épaisse et peut bâtir une légende sur des siècles d’ignorance crasse. Je me convertis sur-le-champ, franchissant dans un même élan le Jourdain et le Rubicon. Dans mon esprit, à la vitesse de la pensée, se formaient des prières, des appels, des incantations nouvelles. La sainte histoire de cette apparition supérieure déroulait ses chapitres incroyables à mon scribe intime, très surpris d’avoir autant de matière après l’indigence où il était tenu depuis des lustres.
Pour moi seul désormais, le Cul des culs s’incarnait dans une sorte d’animal humain libre et fier, gai comme une fleur qui s’ouvre sans retenue, et s’offrait à mes yeux brillants de larmes. Son balancement avait le naturel simple des ramures qu’un doux vent anime, rien dans sa geste ne semblait forcé, affecté ni outré, bien que sa mesure en tout dépassât ce qui vit sous le ciel depuis le Déluge, au bas mot, et que parler d’outrance à son sujet ressemble fort à ce que l’art d’écrire à fait de plus contenu. Alternativement, chaque fesse bondissait (mais avec lenteur, comprenez-vous ?), se contractait comme un organe vital plein de sève, poussant dans une unité parfaite l’autre fesse sur le côté, triomphant un court instant, s’effaçant au profit de sa jumelle, reparaissant encore, et encore, régulière comme le pouls d’un astre immense. Ah ! qu’elle était libre cette croupe de feu, lourde et légère à la fois en son enveloppe de tissu jaune pâle, tendu et détendu avec perfection, rythme et souplesse. Et comme ce tissu cachait et montrait à la fois ce que l’esprit ne peut concevoir tout seul, et combien il participait à la feria en nimbant de presque rien ces muscles ronds, puissants, lourds, toniques, vifs, denses et tendres, ce Cul admirable entre tous les prodiges pour avoir réussi la synthèse de la force et de la douceur, de l’énergie et de la paix, du rythme vivant et de l’éternité.

L’alternance des frottements attirait le voile de la jupe dans la partie supérieure du sillon central, au dessus des fesses, et ça faisait comme un souffle, une respiration légère, une scansion hypnotique. Parfois, comme par jeu, les fesses pinçaient le tissu sur quelques centimètres, divisant l’univers en deux cellules parfaites se répondant, yin et yang bombés et ronds comme des gongs de Chine.

J’avalai ma salive.
Le Cul venait de cesser sa marche. Rejetées en arrière dans une position de repos, les fesses soudain irradiaient une élégante puissance jamais encore vue. Elles se dressaient face à moi, parfaitement immobiles, sans que l’élan de leur course ne réussisse à faire seulement frémir leur surface lisse, sans aucun pendouillement, altières comme des biches en pleine santé.


Equilibre
Symétrie
B e a u t é   t o t a l e
Plénitude.

(Il me semblait qu’un petit engin extra-terrestre allait d’un moment à l’autre se poser sur le haut de ce Cul, et qu’une nouvelle race d’êtres vivants en ferait un tremplin pour conquérir le monde sans coup férir. Qui pourrait s’opposer à cette force ?)
La largeur et la profondeur s’alliaient devant mes yeux comme dans la plus belle formule mathématique. Partant des hanches (pleines comme des mangues sur-gorgées de jus !), les extrados encadraient une masse qu’on devinait portée par des cuisses magnifiques, solides et saines, et l’ensemble comblait entièrement la forme idéale d’un plein cintre renaissance. Puis le mouvement reprenait l’œil pour le faire monter de nouveau vers la taille, une taille à la fois fine et sérieuse, cohérente avec le tout, une taille qui n’avait rien de celle d’une guêpe mais plutôt une rassurante colonne de muscle tendre, capable de résister aux assauts des tempêtes qu’elle déclenche, une taille comme le tronc immuable d’un arbre adolescent qui regarde avec confiance défiler les siècles jusqu’à la fin du monde !
C’était comme si la promesse du Paradis s’était incarnée de nouveau parmi les hommes.
Devais-je crier ?
Devais-je ameuter le peuple ?
Que faire ?
Cela peut paraître étrange mais j’eus le sentiment de ne pas devoir garder ce Cul pour moi (son envergure me dépassait tellement) mais plutôt qu’il me fallait le traduire par un Acte de portée universelle, éclatant de sincérité, un engagement irrémédiable qui ferait basculer l’humanité dans la jubilation.
Ah, ce Cul ! Que n’aurais-je donné pour pouvoir soupeser les fesses de mes deux mains tremblantes, alliant dans mon geste la curiosité du primitif, la concupiscence naturelle du mâle et la prière du fanatique ? … Que n’aurais-je inventé pour faire cesser la course du temps et continuer ainsi mon rêve jusqu’à la disparition du ciel ?… Il était là, dans l’immobilité des statues anciennes, plein du mystère des œuvres antiques qu’il a fallu quinze siècles pour approcher de nouveau, exprimant en une forme qui les contient toutes le génie de la race humaine, son avenir, son éternité. Et moi, qu’avais-je fait pour mériter cet honneur, et comment allais-je me montrer digne de ma tâche ? J’avais devant les yeux ce que les plus grands artistes, les penseurs, les défricheurs, les découvreurs du monde entier avaient cherché depuis toujours, ce pour quoi étaient morts tant d’acharnés, la forme parfaite, la synthèse magique des savoirs, tenant et aboutissant des questions fondamentales qu’on pose, souvent mal, sur tous les continents et qu’on croyait insolubles. Je découvrais sans l’avoir voulu l’incontestable et définitive beauté du monde, son destin enchanté, l’explication indiscutable de la joie.


0 commentaires:

Boxe bordel



Faut pas croire, au CGB, on reçoit du courrier. En plus des commentaires. De petits mots d'encouragements, des mises en demeure, des anecdotes, des textes, des trucs. On reçoit même de bons textes, dignes et intéressants. Je vous propose celui-ci, Boxe bordel. Il nous vient de Pic de la Farandole, poète démolisseur et terrassier, canal romantique, et pêcheur à la ligne, comme il se définit lui-même. C'est un sportif rangé des voitures, comme on le comprend en le lisant. Ce sont d'ailleurs les seuls sportifs fréquentables. C'est un mec ancré dans le passé (tu voudrais être ancré où, toi, dans le futur ?), d'où il garde vivants des souvenirs, des expériences, et les œuvres essentielles, de Céline à Yourcenar, en passant par Blek le roc...



" BOXE BORDEL

Avril 68 à la télé, il pleure Tarzan !
« Pour être manager, il faut avoir une drôle de mentalité ; c’est pas des types chouettes »
Laurent Dauthuille, surnommé le Tarzan de Buzenval, faillit devenir champion du monde des poids moyens le 13 septembre 1950 mais s'inclina finalement sous les coups de Jack La Motta K.O à 13 secondes de la fin du dernier round, alors qu'il menait aux points : 72-68, 74-66, 71-69. Ce combat fut élu combat de l'année par Ring Magazine. Par la suite, il a combattu 15 fois mais jamais plus pour le titre mondial.

Bois de Vincennes, footing, devant les villas cossues, je croise M. boxeur, champion de France et d’Europe, qui me dit :
" Tu vois cette maison c’est celle de mon manager, c’est avec mon argent qu’il la payée ".
Je sais qu’il dit vrai.

Parti boxer au canada, Auguste « Gustou » Caulet, champion de France dans les années 50, reviendra avec en tout et pour tout, un dollar ! « Un dollar en souvenir ! » rigole-t-il
Un autre, Famechon André, après un séjour pugilistique en Australie se retrouve sans un pélo en poche suite à un accident de voiture, il restera là-bas et deviendra docker.
Jean Stock, célèbre dans les années 50, sous la houlette de Benaîm, « Quand je boxais au fixe, j’entrais dans le bureau des organisateurs pour toucher ma bourse ».
« Pas quand je boxais au pourcentage sur la recette ».
« Benaîm ne voulait pas ».
Qui sont les « Benaïm »,
C’étaient les frères Acaries d’aujourd’hui qui faisaient de l’organisation de combat, un business, comme déjà avant eux les Traxel, Bretonnels, Philipe Filippi,Gaston Charles Raymond et bien d’autres dont il n’est pas nécessaire de dresser la liste.

L’un est champion, l’autre proprio
Le titre, le boxeur, après des années efforts et des privations, s’en empare.
Il est heureux comme un enfant à la Noël.
En fait il n’est qu’un intérimaire, un vacataire, ce titre notre pauvre combattant pense à le défendre. Son manager, à le faire fructifier !
Tant que son poulain est capable de le garder, c’est tout bénef pour lui. Si d’aventure il sent une faille, il va chercher, parmi les boxeurs de son équipe, celui qui pourrait le ravir et ainsi ne pas perdre sa propriété.
Le manager méprise dans quasiment tous les cas le boxeur. Ce dernier est un citron qu’il va presser jusqu’à la dernière goute.
L’un rêve, l’autre compte.

Le cauchemar qui dure
En plus du sport, Canal+ voulait du spectacle, alors le jeune champion olympique Brahim Asloum se verra confectionner et offrir ses shorts de combat par les Rikiel, Lagerfeld où dieu c’est qui, moi je ne me souviens plus. Un de ces fameux créatueurs sans imagination. L’avenir était dans le mélange des genres. A cause du sport et des paillettes, nous ne vîmes jamais les qualités pugilistiques réelles de Brahim Asloum.

Les Acaries ont, via une société commerciale, passé un marché avec Canal+; ils devaient, contre un montant forfaitaire, donner à la chaine un certain nombre de soirées de boxe, titres divers en jeu. Ils étaient bien entendu libres de toute contrainte, à la condition de respecter l’exclusivité qui les liaient à Canal+. Quelques années plus tard, Brahim Asloum, sur cette même chaine, annonce qu’il cesse d’être boxeur professionnel, faute de moyens, faute de tout en somme. Les deux Acariès aux abonnés absents !

Le plus drôle où le plus pathétique est que ce jeune boxeur se proposait de moderniser, réinventer la boxe, la faire entrer dans le deuxième millénaire.



Demain
On a eu des transes en voyant débarquer le plombier pollack, de la « la circulaire Bolkestein », mais nous n’avons pas vu arriver le boxeur kirghize, ukrainien, roumain et autres affamés de derrière le Rideau. Il ont les crocs, le kolkhoze ne nourrit pas son homme, un bigmac, un kebab et ils montent sur un ring, du pain béni pour promoteur. Demain les organisateurs allemands qui les recrutent seront peut-être les nouveaux Don King.

Que nous reste t-il ?
Brahim Asloum parlant de Canal+ :
« Ils sont responsables de la mort de la boxe professionnelle ».
Toute sa belle histoire se termine au tribunal. Brahim Asloum réclame dit-on 15 millions d’euros à la chaine cryptée pour rupture abusive de contrat.
Le « Paris United », société lui appartenant, est mise en liquidation judiciaire en 2012, elle avait pour vocation de faire boxer des jeunes boxeurs amateurs.

Le boxeur Nordine Oubali, poids coq prometteur, met en cause dans la presse Brahim Asloum quant à sa gestion personnelle de l’équipe.
Jean-François Mormeck souhaite se reconvertir et organiser des combats de boxe; espérons qu’il se souvienne des déboires qu’il a rencontrés.
Car il restera toujours dans le fond des salles de Paris et de province des boxeurs qui sont encore et toujours prêts à combattre.

La boxe c’est comme le tango parfois ça saigne, souvent ça gueule, jamais ça pleure !
Du sfumato de plomb dans le vol d’un aigle."

Pic de la Farandole.

0 commentaires:

Copé Coppée Coppette

0 commentaires:

Rien à foot du foutre !

Bon, un petit texte rapide et décousu pour ne absolument rien dire, juste pour me remettre dans le bain, car je n'ai pas écrit depuis longtemps.

Depuis hier tout le monde gueule contre les émeutes festives, si persuadé que ça n’avait rien à faire là, après une si belle victoire du Plan de Secours des Gogols. Au contraire, je pense que c’était le clou du spectacle, dans la continuité du match, comme un after du foot sans avoir besoin d’ecsta, la violence et la connerie étant en fin de compte meilleur placebo que n’importe quels psychotropes. Mouloud et Jean-Charles, main dans la main, pour offrir aux touristes la plus spectaculaire des animations parisiennes, à rendre tout jouasse Delanoë et Girard. Paris nuit blanche 2.0.
J’étais fier de nos petits émeutiers, aux gueules bien vilaines, car ils nous ont montré le vrai visage du foot post-moderne : néant, violence et connerie. Cette même trinité qui se couve dans les gradins de chaque match, n’attendant que la bonne occasion pour exploser à la vue du monde. C’est de la festivité violente qu’on a vu avant-hier soir. La face sombre du festivus festivus. La face claire étant les faces de ravis de la crèche des troupes de Delanoë et de Lang. Alors pourquoi tout le monde gueule ? Les émeutiers nous ont offert un bien meilleur spectacle que le match lui-même. Ils devraient tous être contents du carnaval, avec sons des forces de l’ordre, lumières des voitures cramées au molotov et pavés en guise de cotillons. Il ne manquait plus qu’Enrico Macias ou Yannick Noah en live, ce genre de mongols. Car avec les chanteurs mongols, la fête est plus folle.
Alors bien sûr, il ne faut pas confondre cette désolation avec le foot en soi (que je n’aime déjà pas, mais ce n’est qu’une question de gout). Le foot étant une activité sportive qui justement est censée défouler la violence dans une enculée de baballe, décrétée ennemi de la nation, à qui on savate la tronche pendant quatre-vingt-dix minutes, pour l’envoyer se faire mettre dans les filets de l’adversaire-ami. Rien de plus sain, bien que je préfère éjaculer pour le même résultat.

0 commentaires:

Les heures les plus humides de notre Histoire

La France a peur.
Vendredi, dans un bar, un type bourré pisse contre le comptoir et arrose la jambe d'une cliente. Sous la plume d'Hélène Amiraux (une amie ?) le Midi Libre, toujours vent debout face à l'ignominie décide de s'emparer de l'affaire pour qu'on ne puisse plus jamais dire "qu"on ne savait pas". Ils ont même fait une vidéo. Le CGB, à la pointe de tous les combats, se devait à son tour de relayer l'info. Nous n'avons pas changé une ligne de l'article, le choix des mots est important, nous n'aurions su en choisir de meilleurs :

Julie espère pouvoir porter plainte contre son agresseur.
Julie espère pouvoir porter plainte contre son agresseur. (MIKAEL  ANISSET)

Vendredi, une Avignonnaise participait à une soirée d'anniversaire quand un homme a uriné sur sa jambe.

Julie (prénom d'emprunt), une Avignonnaise de 27 ans, n'est pas prête d'oublier la soirée passée dans un des bars branchés d'une des plus belles place de la cité des pape, intra-muros. Vendredi dernier, vers minuit, alors qu'elle vient d'entrer avec un groupe d'amis et de passer sa commande au comptoir, il se produit un acte particulièrement odieux à l'encontre de la jeune femme, d'origine camerounaise. Acte gratuit ou aux relents racistes ? Un acte qui ne doit, en tout cas, pas être minimisé, encore moins banalisé, selon la jeune femme qui a choisi de témoigner.

Tous les détails à lire demain, mercredi 15 mai, dans votre édition Midi Libre Gard rhodanien.

 

0 commentaires:

Le morceau du jour qu'était pas au Trocadéro hier soir

0 commentaires:

Hyperlive sacre du PSG : la croisière s'amuse

Tirs amis sur des CRS
Vous connaissez le mode de fonctionnement de l'Hyperlive : rafraichissez régulièrement la page.

Gabriel Fouquet. Eh bien bienvenue à tous pour un nouvel hyperlive en Cégébie en ce jour historique du sacre du Paris-saint-Germain où le Grand Paris est actuellement en train de fêter son club et surtout ses CRS...
Bonsoir mon cher Lestat, j'espère que vous avez prévu matraques télescopiques et gaz lacrymogène car la soirée va être du domaine du chaleureux!
Lestat. Eeeeeeeeh bien oui mon cher Fouquinouche des mille-fa ! La fête est belle et mon calibre 22 est chargé de quenelles contre le sanglier et l'éléphant ! J'ai également révisé mes recettes de bombes antipersonnel artisanales, on n'est jamais trop prévoyants... Car on ne s'y est pas laissé prendre au CGB contrairement au préfet de police de Paris nommé par le gouvernement Ayrault en mai 2012, Bernard Boucault le bien nommé ! Effectivement, car c'est le boucan le plus total dans la capitale, un beau bordel, la chienlit aurait dit le général 45 ans après mai 68 pile poil !
On regrette l’annulation de la parade fluviale des champions de FRrrrance car définitivement c'eût été un beau remake de la croisière s'amuse !!! En tout cas Isaac est là à nos côtés à nous servir des cocktails blue lagoon tandis que Gofer roule des arbres à douze feuilles ! Que notre lectorat se rassure, on a tout ce qu'il faut pour tenir le siège à l'intérieur du périphérique... Nous trinquons d’ailleurs à la santé des CRS qu'on n'avait pas vu si timides contre les familles de catholiques fascistes de la manif pour tous !

Gab. Ah vous voilà bien taquin mon cher vampirounet au sourire fluocaril alors que les journalistes nous montrent en boucle la banderole « Liberté pour les Ultras » et que tous essaient de nous faire croire que la fête est gâchée à cause de quelques dizaines de nazis, probablement des Boulogne Boys de la manif pour tous... Le problème, c’est que nous avons encore nos yeux pour voir et un reste de cerveau pour comprendre ce que nous regardons. C'est notre ministre de l'Intérieur qui doit une fois de plus s'exprimer : "Merde, ça manque de whites, de blancs, de blancos !" On imagine que toute la banlieue converge actuellement vers les Champs Elysées, qui n'auront jamais si bien porté leur nom sauf sous l'occupation. Tout le monde veut profiter de la fête, c'est à dire du chaos, c'est à dire du KO technique du préfet de Paris !
Les. Ah mais sous l’occupazion, je vous rappelle que ça défilait en ordre et bien coiffés en uniformes bien cintrés. Pour le reste, on vous prédit d'ores et déjà et on n'est même pas Emmanuel Todd (!!!) que les loyers vont plonger dans le VIIIème et tout ça à l'intérieur même de la bulle immobilière parigote qui se décide pas à péter !

Gab. Alors qu’une magnifique interview d’un jeune supporter parisien vient de me faire disjoncter le cerveau. Attention au geste technique, c'est un coup du sombréro mental mon tout beau vampirounet, vous dont je sais l'hygiène buccale irréprochable car vous maniez le fil dentaire comme dans le générique de Dexter : « on est jeunes, on veut juste s’amuser ». Ah la jeunesse a décidément ses raisons que la raison ignore, y compris les juges du Syndicat de la magistrature, ça tombe bien !
Les. Ah alors que d’après les images, les zultras fachos du Parc des Princes de la belle époque ont bien bronzé, enfin changé, ma langue a fourché de dessus mes crocs blanc ivoire… Avec la pluie qui ne cesse depuis l'élection de François Hollande il y a tout juste un an, on se demande, à l'instar d'un expert de l'Observatoire des Comportements d'SOS Racisme, comment ce miracle est possible !

Gab. Supeeeerbe action de Claude Goasguen qui vient de tacler simultanément à la gorge sur Itélé Manuel Vals, ministre de l’Intérieur et Bertrand Delanoë, maire en chef des festivus festivus ! Claude Goasguen est tout près du moment de bravoure lyrique : « Moi maire du XVIème arrondissement de Paris outragé, moi maire du XVIème arrondissement de Paris brisé, moi maire du XVIème arrondissement de Paris martyrisé !
Les. Alors qu’il vient de dédouaner la police disant qu’elle avait fait « ce qu’on lui avait demandé de faire ». Vous m’expliquerez bien pourquoi j’ai compris « ce qu’on lui avait demandé de ne pas faire. » Ah, les milliards qataris rêvaient la carte postale bien jolie avec la tour Eiffel en fond ! Mais c’est tout Paris qui clignote ce soir sous les multiples traumatismes crâniens consécutifs à des tirs amis...
Décidément, François Hollande a la poisse : après le déluge lors de son défilé d'élection sur les Champs, la foudre sur Air France One, Valérie Trierweiler, équivalente à 11 plaies d'Egypte, l'affaire Cahuzac déterrée malgré Jean-Michel Apathie, le retour de Ségolène Royal, la manif pour tous, Florange, Morange, le PSG est champion après 19 ans de disette, c'est vraiment pas de pot ! Ce mec a la guigne mon bon Fouquinouche des familles, faudrait être borgne des deux yeux pour pas le voir... C'est la chèvre, y'a pas d'autres mots mon tout beau Fouquinet...

Gab. Pensez-vous mon vampire à crocs blancs ! Qui l'eût vu venir une telle guigne alors qu'elle était sous nos yeux ! Il faut dire que même Emmanuel Todd, l'Elisabeth Tessier de la statistique, avait prévu l'avènement d'un hollandisme révolutionnaire, le comparant potentiellement à Roosevelt !
Les. Ah Hollande c'est pas le New Deal ! Mais on espère vite un Plan Marshall contre sa poisse parce que là, ça colle de partout ! On se croirait tout goudronné dans les plumes en partance direction la potence pour une bonne pendaison publique...
Allez, à tout à l'heure, on fait une petite pause champagne car on frôle actuellement la déshydratation festive : en trois heures de "fiasco", pas une fois le mot racaille n'a été prononcé...

Les. On récapitule : une péniche débarquée, des joueurs du PSG qui mangent des pizzas retranchés dans leur bunker du Parc des Princes qataris, des Champs Elysées bombardés et occupés par les cailleras. Ce soir c'était des pains et des jeux. Alors que le sélectionneur de l'équipe des CRS de Paris vient de proclamer 21 interpellations ! Même pas foutu de sortir sa liste des 22 !
Bonne soirée à tous.
Gab. Bonne soirée à toutes et à tous. Et à bientôt pour un nouvel hyperlive !!! Paaariiis est tragique !

Off :
Gab. Dites-voir mon tout beau vampire des Carpates et de Navarre d'Alsace Lorraine, elle est bien jolie cette plaque mortuaire que vous gravassiez avec vos gentilles caninettes : ci-gît Bernard Boucault, démissionné d'un jet de bouteille dans la gueule en mai 2013...

0 commentaires:

Les Inconnus - Les oeils en coulisses

0 commentaires:

Tremblez puissants, FOG a lâché ses limiers !

"Le Point" enchaîne les scoop sur... Nabila. Hier on apprenait qu'elle avait fait un mois de prison et aujourd'hui qu'elle se faisait entretenir et refaire les fesses ou bien arranger et prendre le cul, je ne sais plus. 
 Bref, cette année, on sent que le Point a décidé de rattraper son retard en matière de journalisme d'investigation. Médiapart et le Canard n'ont qu'à bien se tenir.



Et vous n'avez encore rien vu, on a trouvé un morpion dans sa culotte

demain interview exclusive du morpion

0 commentaires:

Un peu de morale laïque avec Pascal Canfin

0 commentaires:

Le son du soir qui coupe court à toute conversation

0 commentaires: